Lui

De la mort du poète et du Prince
De cette plume qui est née de la tristesse
De cette résurrection éphémère
Il regarde le ciel et voit les nuages pleurer.

De ces rares voyages
De ces lieux où ces pas ont foulé le sol
Il a découvert des mots, de l'émerveillement à décrire.

Paris ville de lumière.
Les accents de cette enfance perdu
Les mémoires d'outre tombe jamais découvert
Et ce pays merveilleux qui n'existe que dans sa tête
Ces lieux inconnu où sa plume se dépose.

Ces musiques qui bâtissent des œuvres
Ce piano qu'il écoute assis au coin du feu.
Le roulement du train sur les rails
Ce refrain qui le fait naître chaque fois.

Il écrit ces mots pour se souvenir
Pour apprendre de ces pas nouveau
De cette légèreté, de la lourdeur de ces pensées

Il regarde le ciel qui efface ces mots...

Comments

[Lenore]

ce n'est pas la premiere fois que ça me fait cette effet, mais ta plume me fait parfois pensé à du Musset, ce mal si beau et si triste