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Sur un nuage terrestre...

27 octobre 2009

verre transparent

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Chaque seconde qui passe, le temps qui s'arrête
La cigarette au coin des lèvres
La fumée qui brûle les yeux
Ce verre à moitié vide de cette alcool transparent
La dépendance à une vie d'autre fois.
Ces mots qui reste les mêmes et pourtant
Les mêmes rimes
Les mêmes mots qui prennent une saveur particulière.
Les mêmes images dans la tête
Toujours, encore.
Chaque jour une nouvelle résurrection.
Ces souvenirs qui s'envole comme les hirondelles à l'automne.
La ou les rêves sont meilleurs.
La ou le monde regarde la lune, sans être caché par des nuages noires.
On ne connaît pas assez le monde pour le regarder différent.
Je m'enlise dans des paragraphes qui marque ma folie
Je laisse aller cette mégalomanie du monde
Renaissance, découverte, nostalgie d'une époque perdu.

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26 octobre 2009

esprit sombre...

fumer

Entre dans mon monde
    Esprit sombre
       Pervers
          Entre dans mes tripes
            Passe ta main sur mon épaule afin de me montrer ta présence.
              Laisse toi t’agripper à moi.
                Montre moi ta force et ta faiblesse.
                  Ta voix qui m'ensorcelle.
                    Tes mots que mon âme peut lire.
                       Laisse moi prendre ce qu'il y a de plus cher
                        Laisse moi monter prés de toi
                          Fait de mon esprit qu'un sombre souvenir de cette terre.
                           Infiltre toi dans les veines.
                             Oh poison délicieux.
                               Sans toi, je ne suis plus rien
                                Je suis tes pas, ma démarche prés de la tienne.
                                   Nos bras qui s'écorche, qui s'accroche.
                                    Je glisse par terre, mon souffle faible
                                       Vain je me laisse m'envoler
                                         O goût amer dans la bouche.
                                           Laisse moi devenir ce souvenir d'autrefois
                                            Laisse moi devenir ce portrait que l'on dépoussière.
                                             Laisse moi réapparaître à travers le monde.

25 octobre 2009

Orchestra

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La voix du ténor

Ces images sombres qui terrifie les foules.

Un autre monde vient de naître sous les doigts du poète.

Un pianiste presque dont les doigts martèle sa machine a écrire

Avec le rythme même d'une symphonie.

Le cliquettent des touches qui s'envolent.

Les yeux qui se ferment pour que l'esprit s'ouvre sur lui même.

Les mots qui tracent comme une émotion.

Les cœurs qui s'emballent pris dans se rythmes ancestrales

Une musique orchestrale

Le point d'achèvement d'une mélodie

Les muscles figer dans le temps, l'aventure d'un souffle

Comme le vent qui joue avec les feuilles mortes.

25 octobre 2009

robe blanche aux taches de sang

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Rien n'est plus beau, de la déchirure à l'éblouissement

La pureté de ces yeux bleu, aux sangs qui tachent.

                    Ne pas vivre, ne pas survivre.

Angoisse d'un monde qui s'arrête

Perturbation d'un esprit sain

Qui joue la danse macabre

Cette musique classique qui se mélange au pulsion de rock

Ces grandes blanches robes tachée de quelques gouttes de sang.

                                                                                                                                    Esprit déranger dans un corps sain
                                                                                                                                    Esprit apaiser dans un cœur meurtris
.

25 octobre 2009

épaule dénudée

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Cette verve, ce mot qui transperce les corps.

Une voix douce, charmante qui résonne dans le creux d'une oreille.

Son épaule dénudée, pour que l'on puisse apercevoir les ailes d'un papillon.

Cette musique rock qui fait balancer les hanches

La nuit tombe sur la ville qui ne s'endort jamais

Les rifts de guitares qui s'entrechoquent

Les lumières de la nuit qui s'allument telle des étoiles dans le ciel.

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14 juin 2009

Cosmopolite Bar

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Bientôt.Dans ce bar, où ils sourient, la vie est courte, si courte pour eux. Malgré le nom un peu d’incertitude, les sourires et les regards qui ne font qu’un. Les verres qui se succèdent de cocktail de plus en plus étrange.
Les regards plein de joie, les corps qui se frôlent. Les lèvres dans des verres au couleurs étonnantes.
La nuit qui ne fait que commencer, les voix qui s’entrechoquent, les différents accents dans ce lieu cosmopolite.
De la jeune fille en jupe pleine de paillette avec le haut assortie, aux transsexuel sur ces hauts talons et sa bouche peinte de rouge.
Les hommes en maillot moulant qui remue des épaules tout en parlant à leurs voisins en costume cravate un verre de bourbon à la main.

Les idées restent les mêmes, le lieu se partage malgré toutes ces différences.
Des jeux de séductions à cette place entre hétéro et homo, sans quiproquo, sans regard d’incompréhension.

Au milieu de la pièce, le comptoir est implanté comme une table ronde, ou les gens du nord apostrophe ceux du sud. L’alcool coulent dans les veines comme si c’était la première fois que l’on pouvais s’enivrer pour certains.
Comme si c’était la dernière fois pour d’autre.
Les sourires étaient toujours nouveau, il n’y avait pas d’habitué, mais les serveurs connaissaient tout le monde par son prénom.

Les couple s’enlaçait sur la piste de danse, les hommes, les femmes, parfois ceux dont le sexe n’était pas vraiment connu aussi. Personne ne portait de jugement, tous s’avait que le jugement dernier arriverait bien un jour ou l’autre.

La nuit ne faisait que commencer, les verres qui s’empilaient sur le bar annonçait une nuit longue et forte en sensation.
La musique que l’on pouvais entendre laissait aux personnes présentes comme un goût de première fois.
Les tubes de toutes les années se mélangeait avec cette musique rare et introuvable que seul les initiés pouvaient connaître. Il y en avait pour tout les goûts et tout les goûts se laissait convaincre par la musique de l’autre, tapant du pied le rythme.

La nuit s’étirait, on pouvait remarquer le plafond comme un ciel étoiler où la lune se déplaçait comme pour indiquer l’heure qui passait, le temps n’avait pourtant plus d’importance pour chacun d’entre eux. C’était leur première nuit blanche ou bien la dernière.

De grand canapé de couleurs noir et blanc installer tout autour de la pièce laissait aux personnes la possibilité de se reposer dans ce bruit qui ne faisait que croître jusqu'à s’estomper au début du matin. 

Tous dans ce cosmopolite bar, les mots qui semblaient si différent des autres endroits, on ne cherchait pas à séduire, on ne cherchait pas l’amour, chacun avaient trouver un but, une passion en commun. Comme le partage d’une philosophie, un avenir que l’on créait, qui se séparait au détour de la prochaine rue.

Les femmes regardaient les hommes avec un air malicieux, ces derniers leurs jetaient des regards discrets. Un sourire, une parole, une danse.
Il y avait dans ce lieu un charme, une séduction où l’on pouvait se souvenir de ses premières fois. Une atmosphère qui au petit matin laissait un goût sucré, agréable et enfantin.

La nuit filait dans les yeux de chacun jusqu’au petit matin où le café remplaçait les cocktails…
Dans ce lieu unique où on ne venait qu’une fois…


31 mai 2009

Des nuages et de la poussières...

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Et si je laissais aller ma plume à quelques mots innocent, et si je laissais les mots s'entrechoquer une nouvelle fois, l'été va bientot apparaitre et le printemps de ces fleurs nouvelles vient nous donner un peu de fraicheur et de chaleur à la fois.

Les larmes qui coulent du ciel sont un douce et chaude, la lumière ce fait de plus en plus belle et le temps lui passe toujours aussi rapidement.

L'air est frais, la brise carresse mes cheveux et je laisse mon retard s'attarder sur des détails dont autrefois je ne faisais pas attentions.

Les toiles d'araignées sont venu s'intaller dans ce lieu, au milieu des nuages, le vent souffle la poussière et la pluie aprés le beau temps ou ne serait-ce pas plutot le beau temps aprés la pluie.

Parlez moi de vous, qu'êtes vous devenu depuis ces longs mois ? Le soleil est-il rentré prés de chez vous ? As t-il danser avec la lune comme je l'espère chaque nuit ?

Laissez moi faire encore un peu de nettoyage avant de retrouver entièrement qui nous sommes...

31 mai 2009

Le coeur est une place pleine de musique.

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28 janvier 2009

En arriver à de telles extrémités... Un cataclysme pour un panneau blanc...

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" Mon ami Serge a acheté un tableau. C'est une toile d'environ un mètre soixante sur un mètre vingt, peinte en blanc. Le fond est blanc et si on cligne des yeux, on peut apercevoir de fins liserés blancs transversaux. Mon ami Serge est un ami depuis longtemps. C'est un garçon qui a bien réussi, il est médecin dermatologue et il aime l'art. Lundi, je suis allé voir le tableau que Serge avait acquis samedi mais qu'il convoitait depuis plusieurs mois. Un tableau blanc, avec des liserés blancs "

23 janvier 2009

Je marche dans la rue

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Mon visage qui se ferme, je n’entend rien autour de moi, je perd mes mots dans ces sensations que je crois d’une beauté autre.

Je tire sur ma cigarette, la fumer entre dans mes poumons, ce personnage que je me construit à chaque instant, qui croyez vous que je suis si ce n’est que l’ombre d’un autre.

J’écoute ces musiques en boucle et je regarde la nuit qui tombe. Les mêmes mots, je n’en ai jamais assez de dire et de faire le contraire de ce que je suis. Une verre de cette alcool blanc à la main, je ne veux sentir que sa brûlure le long de ma gorge. Je te veux toi.

Je n’ose même plus me regarder dans le miroir, ce qu’il me renvoie n’est pas moi, les pas que fait, je trébuche et rien ni personne n’arrive à me rattraper. Le téléphone sonne, je ne veux même plu y répondre, je sais que tu veux entendre ma voix mais celle-ci est enrailler, plus aucun son de sort.

Je voudrai dormir, rêver d’un monde fabuleux fait de bonbons rose et de douceur de satin. J’arrache les pages de mon cahier pour oublier tout les mots que j’ai écrit avec mon sang. J’écoute cette chanson en boucle. Je ne suis rien.

Ton image qui me renvoie à ma propre déchéance, je n’ai ni connu l’amour, ni connu le sexe, ni connu la drogue et l’alcool et pourtant je suis là à répéter les mêmes gestes, insignifiant.

Ce costume que je porte et qui n’est pas de première jeunesse, je voudrai rester un enfant dans un grand pull tricoter à la main. Mais tu n’es plus là pour que je me souvienne de ta douceur.

Il n’existe pas, je ne suis qu’une personnage parmi d’autre, un de ces hommes de théâtre qui laisse sa voix clamer les paroles d’autre personne.

Qui est vous ? vous me regardez et chacun de vos gestes m’appelles vers vous, je ne sais même pas comme j’écris ces mots, je voudrai jeter tout ce qu’il y a autour de moi.

Il griffonne ces mots de rage dans son journal qui a perdu toute ces pages, il ne reste que la couverture pour qu’il puisse étaler les mots.

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